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Mes indispensables en voyage
Mes indispensables en voyage

Mes indispensables...

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① High Tech

Passionnée de photographie, j’hyperventile rien qu’à l’idée de partir sans mon appareil. Ma seule condition : voyager léger. Je mise sur un seul objectif : mon fidèle 35 mm qui couvre aussi bien les paysage que les photos de rue, mes principaux terrains de jeu.

Hélas, je me suis pris d’intérêt pour la vidéo ; cette nouvelle lubie a rajouté un bon kilos dans mes bagages… bien que je ne l’emporte que pour des courts séjours.

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35 mm

Si tu n’as pas envie de te trimbaler un quintal sur le dos, j’ai une option futée dont le boss final de ton livret A, a.k.a l’obsolescence programmée, n’aura jamais d’emprise… la location !

Un smartphone : pour « instagramer » votre bouillabaisse et en informer tous vos followers illico macias.

Un appareil photo : pour ma part, j’ai un Sony a6300 mon plus fidèle compagnon de route.

Des objectifs qui vont de pair : je me contente de mon 35 mm, mais si vous aussi vous en avez « ras la caquèt‘ de faire du moonwalk jusqu’à ce que tout rentre dans le cadre », il suffit d’investir dans ce très bon 16 mm de chez SIGMA. Les zooms sont une bonne option mais pèseront plus lourds.

Un filtre ND variable : facultatif, néanmoins, aucun filtre Instagram ne pourra rattraper vos clichés cramés.

Des batteries de secours parce qu’elles s’épuisent à la vitesse de la lumière. Quelle idée de shooter des pigeons en rafale aussi…

Une batterie externe – ou “powerbank” – idéalement, à recharge solaire. L’accessoire qui vous sauvera les miches lorsque votre téléphone posera un RTT au fin fond d’une cambrousse. Ça vous apprendra à abuser des selfies…

J’emporte également plusieurs cartes SD ; des 64 GB pour filmer les pores dilatées en 4K.

Comme je l’ai dit plus haut, j’ai finalement cédé à l’appel de la vidéo. Par souci d’encombrement, j’emmène mon Moza Air uniquement lors de mes courts séjour et quand Monsieur m’accompagne (comprendre : lorsqu’il me prête ses deux bras).

Un petit micro Rode pour papoter avec vous dans mes vidéos. Si vous avez un plus gros budget à allouer, le Zoom H5 fait des prouesses pour la prise de son intérieur/extérieur.

Un chargeur allume-cigare pour refaire le plein de batterie durant vos trajets en voiture.

Un ordinateur portable qui est mon outil de travail pour trier mes photos, faire du montage vidéo et chiller devant Netflix.

Une multiprise USB ça change la vie !

Enfin, je fourre tout dans mon sac. Idéal pour transporter mon matériel de manière safe. Il s’ouvre au dos, de quoi dissuader les fils de Sauron.

② Camping

J’ai découvert le camping sauvage dès mon premier roadtrip. Boum. Pas l’temps de niaiser. Je me souviens encore de ma première nuit en Norvège, où les températures tombaient en-dessous des 5°c, que mon sac de couchage n’était pas du tout adapté à ma taille et qu’un vent glacial s’engouffrait dans mon duvet. Un vrai plaisir.

Alors, pour éviter mes monumentales erreurs d’ultra-noob-no-future, voici la liste de ce que j’emmène en roadtrip :

Soyez conscient de ce que vous pouvez porter au quotidien : 15 Kg est, en général, un bon poids, surtout si vous prévoyez de marcher. Testez votre backpack avant le départ !

  • Un backpack : Toute votre vie contenue dans 50 L, voire moins si vous retournez vos slips, c’est possible ! Testez-le au préalable, et choisissez-en un adapté à votre morphologie car vous serez unis pour le meilleur, comme pour le pire. 
  • Des cadenas à code  : encore une astuce pour sécuriser votre sac des fils de Sauron.
  • Une tente : celle de Décathlon fait très bien l’affaire. On dézippe, on balance et le tour est joué. Inutile d’avoir un Doctorat pour la ranger ! Toutefois, je ne la conseille pas si vous êtes amenés à vivre dans des conditions météorologiques extrêmes. Pas sûr qu’elle résiste aux rafales de vent d’Artikodin. Vous finirez par dormir à la belle étoile.
  • Un sac de couchage résistant jusqu’à 0°c, comme la Forclaz qui est une valeur sûre. Misez sur du synthétique car les plumes ne font pas bon ménage avec l’humidité.
  • Un oreiller gonflable. Les warriors s’en passeront… Avec un torticolis de force 8 en fin de séjour, certes.
  • Une popote. Là encore, investissez dans un modèle autre que du téflon bas de gamme, histoire de ne pas avoir la sensation de jouer à la dînette.
  • Une gourde filtrante. L’eau du robinet n’est pas potable partout.
  • Un couteau suisse. Vous vous souvenez du film 127 heures ? Moi aussi. À mettre impérativement dans votre bagage en soute !
  • Du papier toilette : parce que le prout. Et biodégradable, s’il-vous-plaît !
  • Un adaptateur universel
  • Un pisse-debout. Comme son nom l’indique, il sera l’allié de toutes les backpackeuses. Vos pompes vous diront merci.
  • Un masque de nuit pour ne plus voir les haters.
  • Des boules Quiès, parce que les branches qui craquent à deux mètres de ton lit de fortune, ça fait flipper. Mieux vaut mourir dormir sur ses deux oreilles.

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Un réchaud. Je possède le modèle d’entrée de gamme, toujours chez l’ami Décathlon. Je m’en accommode mais si vous pouvez investir plus, faites-le ! Ce modèle n’est pas très stable et il y a une chance sur deux que votre plâtrée de pâtes finisse sur la pelouse. Oubliez la bouteille de gaz qui est interdite dans l’avion. Vous pourrez en trouver sur place.

  • Un briquet : si Craig David passait par-là, vous auriez l’air bien malins à n’avoir rien à agiter durant le concert…
  • De la lessive : j’emporte un savon à tout faire, type savon de Marseille. Je recommande celui du Dr Bronner’s, la meilleure alternative : léger, facile à stocker, écologique, multi-usage (peut être utilisé pour se laver).
  • De la corde et des pinces à linge : pour faire sécher son linge même dans les endroits les plus escarpés. Vous trouverez toujours une une poignée ou une tringle à rideau pour fixer votre fil.

    Attention : je vous déconseille de laisser votre linge sécher à l’air libre dans certains pays tropicaux. Certains insectes en profiteront pour déposer leurs œufs sur votre linge humide (condition idéale pour l’éclosion). Vous trouverez plus d’informations via cet article :  Myiase cutanée. Bon app.

Astuce anti-gaspi : choisissez un réchaud avec une capacité adaptée à votre utilisation. Je prends toujours la plus faible contenance, et il m’en reste encore en fin de séjour… dans ces cas-là, pensez aux autres campeurs !

③ Trousse de soin

25 000 tonnes de produits solaires se répandent chaque année dans les océans. Faites un geste pour la planète, et préférez une crème solaire aux composants biodégradables !

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  • Une crème solaire biodégradable, si vous ne voulez pas garder la marque de votre Marcel, tel un touriste allemand sur les plages d’Argelès-sur-Mer… 
  • Un spray anti-moustique. En plus de vous refiler le palu, ces fils de mangemort vous prennent pour un buffet à volonté. J’ai donc décidé de sortir l’artillerie lourde : un spray pour le corps (vous avez pléthores de solutions végétales) ET un spray pour les vêtements qui résiste à 4 à 5 lavages.
  • Particulièrement sujette aux piqûres de ces buveurs de sang, j’ai poussé le vice jusqu’à investir dans une moustiquaire de tête. Ne cherchez pas à pécho, c’est un contraceptif naturel.
  • Des lingettes nettoyantes biodégradables, pour un minimum d’hygiène MAIS un maximum de reconnaissance de la part de votre entourage. Sachez qu’après plusieurs jours de bivouac, on finit par dégager une odeur de type gaz moutarde.
  • Du dentifrice solide.  Celui de Lamazuna est génial : naturel, zéro déchet, dure environ 2 mois et végane.
  • Des pansements pour panser vos blessures de guerre.
  • Un désinfectant pour les petits bobos
  • Un anti-vomitif pour  les virages sur une roue que ton chauffeur (cascadeur refoulé) te faire subir.
  • Un anti-diarrhéique parce que le prout.
  • Des antalgiques
  • Un gel désinfectant pour les mains. Peut servir de démaquillant dans les cas extrêmes (tiré d’une histoires vraie)
  • Un savon à tout faire. Pour ma part, j’emporte celui du Dr Bronner’s, la meilleure alternative : 100% biodégradable, léger, facile à stocker, emballage plus écologique, et surtout, multi-usage.

Pour aller plus loin...

  • Un drone pour revenir avec de belles images aériennes. Vérifiez en amont les restrictions du pays où vous vous rendez. Certains exigent une autorisation, quand d’autres en interdisent tout bonnement l’usage. Ainsi, vous risquez au mieux de vous faire confisquer l’objet du délit, au pire, de vous faire emprisonner pour motif d’espionnage.
  • Un pare-vent : c’est du goodies mais pourquoi pas.
  • Une lampe frontale, à recharge solaire.
  • Un matelas gonflable. Par souci d’encombrement, je dors à même la caillasse tel un fakir.
  • Un carnet, pour écrire des textes torturés comme le père Kerouac. Les bobos opteront pour un Moleskine, tandis que les puristes tanneront leur propre peau de chèvre.

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